La Nature est Généreuse !

Il y a quelques mois un monsieur très sage m’a dit une phrase très courte et très simple : La Nature est généreuse. À cette époque je n’ai pas pris la mesure ni la puissance de ce message. Aujourd’hui, après avoir observé, senti et compris son sens profond et positif, j’ai envie de le partager avec vous. Comment appréhender et comprendre ces quatre mots mis bout à bout ? Il s’agit de réaliser que dans nos sociétés occidentales modernes on nous inculque -parmi d’autres principes de peurs- un principe de limitation des ressources qui va au-delà de la simple fin des réserves de pétrole ou de la problématique de l’Or Bleu. En entendant que les ressources sont limitées, notre inconscient entend un message bien plus grave et conséquent : petit à petit on comprend que toutes les ressources sont limitées. Une des résultantes est d’ordre individuel : si autrui a quelque chose que je n’ai pas, puisque tout est limité, alors je risque encore moins de l’obtenir, le tout accompagné des sensations de danger, d’envie et d’instinct de survie.

Est-ce que vous envisagez déjà les conséquences ? Cela fait de nous des êtres envieux et jaloux, non pas par nature mais bien par éducation. Cela fait de nous des personnes difficilement capable d’être profondément et réellement content pour ce qui arrive de positif aux autres. Je ne dis pas que l’on n’est jamais, ô grand jamais, noble et capable d’être heureux des bonnes choses qui touchent les autres, mais soyons honnêtes, souvent on sent quelque chose de bizarre dans le ventre en même temps, non ? Quelles ont été vos premières pensées intérieures la dernière fois qu’un(e) ami(e) vous a annoncé qu’ils attendaient un bébé, qu’un(e) ami(e) vous a appelé en criant pour vous dire qu’il venait de gagner à un jeu-concours un voyage à Tahiti ou encore qu’un(e) ami(e) vous a parlé de son incroyable promotion avec augmentation, voiture de fonction, voyage en première e tutti cuanti ? Combien de fois avez-vous ressenti le besoin de critiquer une personne sans la connaitre, rien qu’en la voyant, et sans réellement savoir pourquoi ? La prochaine fois, demandez-vous ce qui parle en vous et ce qui provoque cet élan quasi instinctif de vouloir diminuer ou rabaisser la personne (à voix haute avec son groupe, mais derrière son dos bien entendu) ? Cet élan permet de se rassurer en la mettant à son niveau, voire en-dessous de nous même, si possible.

Parce que l’on se croit et l’on se sent moins et que l’on voudrait se sentir plus que les autres. Pourquoi ne pas penser que ce qu’a l’autre je peux l’avoir, en d’autres mots : nous sommes toutes et tous égaux, quelle que soit notre physique, nos acquis sociaux, notre niveau économique, notre expérience, etc. ? La notion de limitation des ressources provoque la notion même de hiérarchisation et de jalousie : si tu as ce que je désirais avoir, alors je ne peux plus l’avoir. Autre effet pervers : on en arrive inconsciemment à vouloir faire échouer l’autre, et l’on se voit dire des phrases en apparences banales mais qui ne transmettent pourtant que du négatif. Exemple : après quelques années de célibat, une amie à moi est aujourd’hui en couple ; elle doit s’habituer et faire des compromis pour « réapprendre » la vie à deux ; un soir elle est invitée au dernier moment à une soirée, son premier réflexe : j’arrive ! Puis elle se ravise et dit qu’elle va d’abord informer son copain et l’inviter au passage ; (jusqu’ici, cela vous choque ? Personnellement je trouve cela assez normal de prévenir l’autre si l’on va sortir et qu’on a envie qu’il vienne aussi, non ?) ; Bref, réaction en face : mais depuis quand tu dois prévenir ton copain de tes faits et gestes, c’est quoi cette relation ?. Ça ne vous choque pas ? Moi SI ! Pourquoi ne pas avoir simplement répondu : Ok, tiens-moi au courant ? J’y vois du transfert, de l’envie et de la programmation inconsciente d’échec. Pas vous ?

On parle beaucoup en France des médias et des politiques qui martèlent à tout va l’insécurité comme problématique nationale, on s’en plaint beaucoup mais pourquoi ? Simplement parce qu’à trop parler de choses négatives et de peurs, on reste dans un état quasi permanent de stress, véritable énergie noire pour l’être humain. C’est ce même stress qui fait naître les pires violences, les plus grandes peurs et les réactions les plus viles chez l’homme, ce stress nous fait également sur-consommer… Et oui, si les ressources sont limitées : dépêchons-nous vite d’acquérir tout ce que l’on peut, et surtout avant les autres… (rajoutons-y un soupçon d’obsolescence programmé des produits mercantiles et hop la… BOOM !). En quelque sorte, on nous empêche de vivre serein, on nous demande d’être en permanence vigilent, sur la défensive, attentif. Pour moi il en va du même principe paralysant ou apeurant. Et je ne rentrerai pas dans le c’est la crise qui nous habite toutes et tous depuis 2008 (oui oui, 4 ans déjà…). Cette phrase permet en bonus de tous nous déresponsabiliser, c’est fantastique, c’est pas d’ma faute, c’est la crise !

Pour illustrer de nouveau, je prends un autre exemple, personnel. J’ai quitté mon travail en novembre dernier, car j’étais malheureuse dans ce que je faisais et que j’avais envie d’aller chercher un travail qui soit rémunérateur dans tous les sens du terme : vivre bien, pour moi, c’est aussi avoir du plaisir dans ce que l’on fait, avoir envie de se lever le matin et non pas l’inverse, quitte à gagner moins qu’avant. J’avais quelques idées de projets envisageables, à mon compte, et aussi l’envie de me former de nouveau pour élargir mes compétences et surtout me sentir la légitimité d’être ce que j’envisageais de devenir : coach, consultante et formatrice. Croyez-le ou non, la majorité des réactions ont été de l’ordre de : mais c’est la crise, t’es pas un peu folle ? ou encore aïe, ça va être dur et j’ai même eu droit à un en gros tu rêves de baisser ton niveau de vie. Oui, c’est E-XA-CTE-MENT cela : je suis folle, sado-maso de surcroît, et j’en redemande (coucou, tu la sens ma grosse ironie ?!). Personnellement cela me met en boule, pour deux raisons principales : l’incapacité de s’enthousiasmer pour autrui sans transférer ses propres peurs sur lui ET cette tendance à toujours voir le verre à demi-vide plutôt qu’à demi-plein. Et je rajouterais également : sous couvert de vouloir protéger l’autre des erreurs qu’on pense (potentiellement à tort) qu’il fait, alors on cherche à lui imposer notre expérience sans le laisser faire la sienne. Est-ce réellement cela, vouloir faire du bien à l’autre ? Est-il possible que nous ayons toutes les réponses en nous, et que si nous acceptions d’être plus honnêtes envers nous-même, plus introspectifs, et qu’on allait chercher en nous les réponses aux questions essentielles, alors on arrêterait d’aller chercher à l’extérieur de soi d’autres sujets individuels et sociétaux qui nous éloignent de nous-mêmes sous couvert d’altruisme et d’intérêt pour le bien-être de la société ?

Pourquoi parler de cela aujourd’hui ? Parce que j’ai depuis observé beaucoup de petits moments du quotidien qui m’ont démontré en effet que nous avons oublié que la nature est généreuse et illimitée (oui, il s’agit notamment de la fameuse image de la corne d’abondance). On se limite nous-même, et on s’empêche de rêver et de faire des projets. Mais également on devient des êtres pessimistes, manquant de vision et d’imagination, et qui plus est : dérangés par la réussite ou le bonheur d’autrui. Avouez, c’est moche quand même. Personnellement je pense que l’Homme n’est pas de cette nature. Alors à quand des messages positifs, vibrants d’espoir et qui nous réconcilie avec une vie pleine de possibles et de rêves accessibles ? À quand la fin des transferts sur les autres de ses propres peurs, manques et envies ? À quand des gens qui s’enthousiasment profondément et sincèrement pour le bonheur des autres, qui les laisse vivre leur vie en étant à leurs côtés dans les BONS comme dans les mauvais moments ?

Donc, j’avais simplement envie de lancer cette idée en l’air, comme ça, dans l’Univers : la nature est généreuse car je pense que ces quatre mots sont bien plus puissants que ce dont ils ont l’air, si l’on accepte de se regarder dans le miroir et de le traverser en acceptant ces défauts que l’on souhaiterait ne pas avoir. Depuis que j’ai réellement compris et intégré cela, je suis contente des changements que j’ai ressenti en moi, alors sait-on jamais, si une ou deux personnes sont également touchée par cette invraisemblable croyance qu’on nous rabâche au quotidien, et réussissent à la retourner dans le bon sens, alors je serais encore plus heureuse !

© 2014, Chloé Keric-Eli. Tous droits réservés pour tous pays.

30 choses que l’on pourrait cesser de s’infliger à soi-même

Traduction libre de l’article de Marc & Angel Chernoff
30 things to stop doing to yourself

Comme le disait Maria Robinson : personne ne peut revenir en arrière et prendre un nouveau départ, par contre n’importe qui peut commencer dès aujourd’hui et se fabriquer une nouvelle fin. Rien ne pourrait être plus proche de la vérité. Mais avant de commencer ce processus de transformation, il est bon d’arrêter de faire certaines choses qui ont pu vous empêcher d’avancer. Voici quelques idées pour vous aider à démarrer :

  1. Arrêtez de passer du temps avec les mauvaises personnes. – La vie est trop courte pour passer du temps avec des gens qui vampirisent votre bonheur. Si quelqu’un vous veut dans sa vie, il saura vous faire de la place. Vous ne devriez pas avoir à vous battre pour cela. N’insistez jamais auprès d’une personne qui vous dévalorise en permanence. Et rappelez-vous que vos vrais amis ne sont pas ceux qui se tiennent à vos côtés quand vous êtes au mieux, mais bien ceux qui vous soutiennent quand vous êtes au plus mal.
  2. Arrêtez de fuir vos problèmes. – Affrontez-les… Non : ce ne sera pas facile. Personne n’est capable de gérer sans faille tous les coups qui lui sont portés. Nous ne sommes pas censés être en mesure de résoudre instantanément tous les problèmes. Nous ne sommes pas faits de cette façon. En réalité, nous sommes faits pour être contrarié, triste, blessé, trébucher et tomber. Parce que c’est là qu’est le but de la vie – faire face aux problèmes, apprendre, s’adapter et les résoudre au fil du temps. En fin de compte, c’est ce qui nous façonne en la personne que nous devenons.
  3. Arrêtez de vous mentir à vous-même. – Vous pouvez mentir au reste de la planète, mais pas à vous-même. Nos vies ne s’améliorent que quand nous prenons des risques, or le premier et le plus grand risque que nous pouvons prendre est d’être honnête envers nous-même. Lisez Le chemin le moins fréquenté de Morgan Scott Peck.
  4. Arrêtez de mettre vos propres besoins en veilleuse. – « Le plus douloureux qui soit est de se perdre soi-même en aimant quelqu’un si fort qu’on en oublie qu’on est tout aussi spécial » (Men Without Women, Ernest Hemingway). Aidez les autres, oui, mais prenez soin de vous également. S’il existait un moment parfait pour poursuivre une passion et faire quelque chose qui compte vraiment, alors ce moment est venu, c’est maintenant.
  5. Arrêtez d’essayer d’être quelqu’un que vous n’êtes pas. – Un des plus grands défis dans la vie est d’être vous-même dans un monde qui essaie de vous rendre comme tout le monde. Il y aura toujours quelqu’un de plus joli, quelqu’un de plus plus intelligent ou quelqu’un de plus jeune, mais ils ne seront jamais vous. Ne changez pas pour que les gens vous aiment. Soyez vous-même et les bonnes personnes aimeront votre vrai vous.
  6. Arrêtez d’essayer de vous accrocher au passé. – Vous ne pouvez pas commencer le prochain chapitre de votre vie si vous continuez à lire et relire le dernier.
  7. Arrêtez d’avoir peur de faire une erreur. – Faire quelque chose et se tromper est au moins dix fois plus productif que de ne rien faire. Chaque succès est issu d’un chemin bordé d’échecs, et chaque échec mène vers le succès. On finit par regretter les choses que l’on n’a pas faites beaucoup plus que les choses que l’on a faites.
  8. Arrêtez de vous auto-flageller pour vos erreurs passées. – On peut aimer la mauvaise personne ou pleurer mal à propos, mais peu importe à quel point les choses tournent mal, une chose est certaine : les erreurs nous aident à trouver la personne et les choses qui sont faites pour nous. On fait des erreurs, on lutte, parfois même on regrette des choses de notre passé. Mais vous n’êtes pas vos erreurs, vous n’êtes pas vos luttes, et vous êtes ICI ET MAINTENANT avec le pouvoir de façonner votre journée et votre avenir. Toutes les choses sans exception qui vous arrivent dans votre vie vous préparent pour un moment qui est encore à venir.
  9. Arrêtez d’essayer d’acheter votre bonheur. – Beaucoup des biens que nous désirons sont chers. Mais en vérité, les choses qui nous offrent une réelle satisfaction sont totalement gratuites – l’amour, le rire, approfondir nos passions.
  10. Arrêtez de chercher votre bonheur chez les autres. – Si vous n’êtes pas heureux avec qui vous êtes à l’intérieur, vous ne serez pas heureux non plus dans une relation à long terme avec qui que se soit d’autre. Vous devez créer de la stabilité dans votre propre vie avant de pouvoir la partager avec quelqu’un d’autre. Lisez Et si le bonheur vous tombait dessus de Daniel Todd Gilbert.
  11. Arrêtez d’être à l’arrêt. – Ne pensez pas trop ou vous risquez de créer un problème qui n’était même pas là à la base. Évaluez les situations et passez à l’action de manière décisive. Vous ne pouvez pas changer ce que vous refusez d’affronter. Faire des progrès comporte des risques. Point à la ligne ! C’est comme au baseball : vous ne pouvez pas vous rendre à la seconde base si vous avez encore le pied sur la première.
  12. Arrêtez de penser que vous n’êtes pas prêt. – Personne ne se sent jamais prêt à 100% quand l’occasion se présente. Dans la vie, la plupart des grandes opportunités nous poussent à aller au-delà de notre zone de confort, c’est pour cela que nous ne pouvons pas nous sentir totalement à l’aise au début.
  13. Arrêtez de vous engager dans des relations pour les mauvaises raisons. – Les relations doivent être choisies judicieusement. Mieux vaut être seul que mal accompagné. Il n’y a pas besoin de se précipiter. Si quelque chose doit se produire, cela arrivera – au bon moment, avec la bonne personne, et pour la meilleure des raisons. Tombez amoureux quand vous êtes prêt, et non pas quand vous êtes seul.
  14. Arrêtez de rejeter de nouvelles relations simplement parce que les anciennes n’ont pas fonctionné. – Vous vous rendrez compte que dans la vie il y a une raison derrière chacune de vos rencontres. Certaines personnes vont vous tester, certaines vont vous utiliser et d’autres encore vous enseignerons. Mais surtout, certaines vont vous permettre de donner le meilleur de vous-même.
  15. Arrêtez d’essayer d’être en compétition avec tout le monde. – Ne vous inquiétez pas de ce que les autres font mieux que vous. Concentrez-vous sur le fait de battre vos propres records chaque jour. Le succès est une bataille entre VOUS et VOUS-MÊME uniquement.
  16. Arrêtez d’être jaloux des autres. – La jalousie est l’art de compter les bénédictions d’un autre au lieu de compter les siennes. Demandez-vous plutôt ce que vous avez que tout le monde veut.
  17. Arrêtez de vous plaindre et de vous apitoyer sur votre sort. – Les surprises de la vie sont envoyées pour une raison – pour déplacer votre chemin vers une direction qui est faite pour vous. Vous ne voyez ou ne comprenez peut-être pas tout sur le moment, et cela peut être difficile.Mais si vous réfléchissez aux évènements inattendus que vous avez vécus par le passé, vous verrez souvent qu’au final ils vont ont amenés vers un meilleur endroit, une meilleur personne, un meilleur état d’esprit ou une meilleur situation. Alors souriez ! Montrez à tout le monde que vous êtes beaucoup plus fort aujourd’hui que vous n’étiez hier et vous le serez.
  18. Arrêtez d’en vouloir aux autres, oubliez la rancune. – Ne vivez pas votre vie avec de la haine dans votre cœur. Vous finirez par vous blesser vous-même plus que les gens que vous détestez. Le pardon ce n’est pas dire : « ce que tu m’as fait n’est pas grave« , c’est dire : « je ne vais pas laisser ce que tu m’as fait gâcher mon bonheur pour toujours« . Le pardon est la réponse… Lâchez prise, trouvez la paix, libérez-vous ! Et rappelez-vous que le pardon n’est pas uniquement orienté vers les autres, il vous est également destiné. S’il le faut, pardonnez-vous, allez de l’avant et essayez de faire mieux la prochaine fois.
  19. Arrêtez de laisser les autres vous abaisser à leur niveau. – Refusez de réduire vos exigences et vos normes de conduite pour vous adapter à ceux qui refusent d’élever les leurs.
  20. Arrêtez de perdre du temps à vous justifier auprès des autres. – Vos amis n’en ont pas besoin et vos ennemis ne vous croiront pas de toute façon. Faites ce qui est juste en fonction de ce que sait et de ce que vous dicte votre cœur.
  21. Arrêtez de répéter les mêmes choses sans jamais faire de pause. – Le moment parfait pour prendre une profonde respiration, c’est justement quand vous n’avez pas le temps de le faire. Si vous continuez à faire ce que vous faites, vous continuerez d’obtenir ce que vous obtenez. Parfois on a besoin de prendre du recul pour voir les choses clairement.
  22. Arrêtez de négliger la beauté des petits instants. – Profitez des petites choses du quotidien, parce qu’un jour vous pourriez regarder en arrière et découvrir qu’en réalité c’était les grandes. La meilleure partie de votre vie sera faite des petits instants presque invisible que vous passez à sourire en compagnie d’une personne qui compte pour vous.
  23. Arrêtez d’essayer de faire les choses parfaitement. – Le monde réel ne récompense pas les perfectionnistes, il récompense les gens qui passent à l’action et font avancer les choses. Lisez S’organiser pour réussir / Getting Things Done de David Allen.
  24. Arrêtez de suivre le chemin du moindre effort. – La vie n’est pas facile, surtout lorsque vous cherchez à réaliser quelque chose qui en vaut la peine. Ne choisissez pas la solution de facilité. Faites quelque chose d’extraordinaire.
  25. Arrêtez de faire comme si tout allait bien si ce n’est pas le cas. – C’est normal de craquer de temps à autre. Vous n’êtes pas obligés de prétendre tout le temps être fort, et il n’est pas nécessaire de prouver sans cesse que tout va bien. Vous ne devriez pas non plus être préoccupés par ce que les autres pensent – pleurez si vous en avez besoin – il est sain de verser une larme. Et plus vite vous le faites, plus vite vous serez en mesure de retrouver le sourire.
  26. Arrêtez de blâmer les autres pour vos problèmes. – La mesure avec laquelle vous pouvez réaliser vos rêves dépend à quel point vous acceptez la responsabilité de votre vie. Lorsque vous blâmer les autres pour ce que vous êtes en train de vivre, vous niez votre propre responsabilité – vous donnez aux autres le pouvoir sur cette partie de votre vie.
  27. Arrêtez d’essayer d’être tout pour tout le monde. – C’est tout simplement impossible, et vous vous y épuiserez rien qu’à essayer. Mais faire sourire une personne PEUT changer le monde. Peut-être pas le monde entier, mais leur monde à eux si. Donc réduisez votre cible.
  28. Arrêtez de vous inquiéter autant. – L’inquiétude ne fera pas disparaître les fardeaux de demain, mais elle vous privera de la joie d’aujourd’hui. Un moyen de vérifier que quelque chose mérite de ruminer ou pas est de vous poser la question : « Est-ce que cela aura de l’importance dans 1 an ? Dans 3 ans ? Dans 5 ans ? ». Si la réponse est non, alors c’est que ce n’est pas la peine de s’inquiéter.
  29. Arrêtez de vous concentrer seulement sur ce que vous ne voulez pas qui arrive. – Concentrez-vous plutôt sur ce que vous voulez qui arrive. La pensée positive est au premier plan de tous les grands succès. Si vous vous réveillez tous les matins avec l’idée que quelque chose de merveilleux va arriver dans votre vie aujourd’hui, et que vous y prêtez attention, vous réaliserez que vous avez souvent raison.
  30. Arrêtez d’être ingrats. – Qu’elle soit bonne ou mauvaise, réveillez-vous chaque jour en étant reconnaissant pour votre vie. Quelqu’un, ailleurs, est en train de se battre désespérément pour la sienne. Au lieu de penser à ce qui vous manque, essayez de penser à ce que vous avez déjà et que très peu d’autres personnes ont.

C’est en arrêtant de poursuivre ce qui ne nous convient pas que nous donnons une chance à ce qui est juste et positif de nous rattraper.

© 2014, Chloé Keric-Eli. Tous droits réservés pour tous pays.